A ma clémentine

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À ma clémentine est un roman épistolaire et graphique. C’est un roman narrant des tranches de vie baigné dans l’émotion, les moments forts et parfois dramatiques. Tout en abordant des thèmes comme l’insécurité, la solitude, le deuil, la maladie mais surtout la recherche de soi.

Ce bouquin comporte 6 chapitres, un addendum, une annexe ( folio ). Ainsi, il constitue 88 pages fermées. C’est un format A4, avec un grammage de 150g/200g. Une reliure en nid d’abeille pour formaliser le tout.
La cible de ce roman est les 25 et plus, cependant toutes tranches d’âge peut le lire. Il y a pas de visuel ou de thématique ayant besoin d’un minimum d’âge.

Dans ce projet, j’ai utilisé 3 médiums, l’aquarelle, la gouache et la craie grasse, s’ajoutant le numérique pour retoucher les scans ou encore faire la maquette.

• L’aquarelle : J’ai utiliser l’aquarelle dans le chapitre 1, chapitre sur la naissance, pour jouer avec l’eau comme la vie qui s’écoule et le sang versé durant l’accouchement
• La craie grasse : La craie grasse a été employée pour le chapitre deux sur la primaire, le concept étant de définir l’impulsivité et le dynamisme de l’enfant. ( Tout en faisant un clin d’oeil au craie que j’utilisais étant petite)
• La gouache : En utilisant ce médium pour le reste des chapitres, c’était pour représenter la fragilité des moments ( la gouache permet de modifier l’oeuvre, pas de manière illimité forcément mais je voulais jouer avec cet idée pour la signification des illustrations) et aussi pour représenter la profondeur et les secrets cachés sous toutes ses couches, ces couches de peinture.

Ce roman, je l’ai écrit, dans un premier lieu, pour ma mère, la remercier comme elle le mérite.
Et dans un second lieu, je l’ai conceptualisé pour partager les problèmes qu’on peut rencontrer dans une relation mère et fille, principalement. Mais aussi les problèmes de la vie, l’école, la famille, le deuil...

C’est pourquoi j’ai souligné tout particulièrement les émotions des deux personnages, pour que le lecteur puisse s’identifier.
Ainsi, il voyagera entre les doutes, les interrogations, mais surtout des émotions de la jeune fille, mais aussi celles de sa mère.

L’histoire débute à la naissance de Maximillienne ou du moins la grossesse de sa mère, Agatha. 5 mois avant l’accouchement, les médecins diagnostiquent Maximillienne d’une pathologie cardiaque. Son pronostic vital est en danger. Abattue par cette information, Agatha va rassembler son courage et tout faire pour donner vie à son bébé.

Roman épistolaire et graphique